Durant quatre années, (15 juin 1940 – 25 août 1944), Corbeil et Essonnes subissent l’occupation. A la baignade, Alice Menut remplace son mari mobilisé. Jacques Misset est engagé dans la Défense Passive Madame Flamme se rappelle du port du masque à gaz pour aller à l’école. Geneviève Michel parle de son mari fait prisonnier dans les premiers jours de la guerre. Guy Mignon est témoin de combats aériens. Jeanine Foulon montre un morceau de la passerelle de la rue de La Barre tombé près d’elle suite à son dynamitage par l’ennemi en repli.
Le 13 août 1944, les avions alliés bombardent les installations ferroviaires de l’avant gare de Corbeil et font sauter un train de munitions ennemi. Christian Roblou, Pierre Blais, Marcel Cassé, Yves et Christian Leroy, Jacques Personnat et Michel Ansart se souviennent de cet événement dramatique qui fera plusieurs victimes et des dégâts considérables.
En relation avec le débarquement, dans la nuit du 7 au 8 juin, un important raid allié bombarde les nœuds ferroviaires sud-ouest de la Grande Ceinture. A 1h15, un bombardier en perdition vient s’écraser sur le pavillon situé au 2 de la rue de Gournay à Corbeil. Emile Klein, Pierre Blais et Jacques Misset racontent cet épisode tragique.

Référence : 080316

Durée : 69mn


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